S'enfuir n'est jamais bien... [pv Capi]

[Voici donc le Chapitre 2 qui commence... ^^]

Train s'était enfui de la chambre de Capucine, car il avait honte, vraiment honte, pas dans le sens où il aurait fait une mauvaise action ou autre, mais il s'était vraiment sentit intimidé face à la beauté dont faisait preuve l'élue de son coeur. Il courait encore de toute ses forces, bien qu'il savait qu'il avait semé Capi, peut-être voulait-il en être encore plus sûr, mais en tout cas, il se retrouva bientôt au milieu du parc de la ville, où il s'arrêta net. La nuit étoilée restait encore très belle et il observait le paysage autour de lui, il était changé par rapport à la journée, c'était comme une beauté éphémère qui venait illuminer ce parc à la nuit tombée. Ce n'est qu'à ce moment que Train réalisa, il réalisa qu'il venait de commettre une belle erreur, en s'enfuiyant ainsi devant celle qu'il aimait, car la vie est belle de par ses rebondissements et ces incertitudes qui vous prennent lorsqu'un moment crucial arrive. Il réalisait, il le sentait bien en courant jusqu'ici, mais il ne le réalisait vraiment qu'à cet instant où il voyait ce parc transformé, ce parc qu'il avait déjà vu tant de fois et qui était si ordinaire dans la journée. Cela lui rappela également pourquoi pour lui, la nuit est le meilleur moment d'un jour, car c'est le moment où tout s'éclaire d'une lumière divine qui embellit les choses, d'une beauté éphémère mais incroyablement scincère, qui se grave au fond du coeur des gens, des rares gens capables de la percevoir, des personnes qui ne cherchent pas la gloire, l'argent ou simplement à satisfaire leur égaux. Ces gens là peuvent tout voir, tout sentir, tout entendre, mais aussi tout entreprendre. Train, après cette longue réflèxion, s'asseya sur le rebord de la fontaine, au milieu du parc, et se mit à regarder la paume de sa main, perdu dans ses pensées pour Capucine, qui s'envolaient dans le ciel chaud et magnifique de ce jour là. Il se dit alors à lui même, à voix basse :

"Je devrais retourner la voir..."

C'est ce qu'il pensait réellement, il voulait retourner la voir et tout lui avouer mais en même temps, cela lui faisait un peu peur, il avait peur de la réaction de Capucine surtout, était-ce trop tôt pour elle, ou peut-être même était-ce trop tôt pour lui-même. Il hésitait encore, alors il se remémora des bons moments passés avec elle, tout ces moments de bonheur où il avait été vraiment comblé, les moments de joie, comme les moments de tristesse, il se remémorait de tout, et il se rappela surtout du plus important : Il était prêt à tout sacrifier pour elle. C'est donc après cette conclusion qu'il se leva le poing serré, d'un air décidé, et dit tout haut :

"Je t'aime, Capucine !! Je ferai n'importe quoi pour rester près de toi !!"

Après ces mots pleins de convictions et de sentiments aussi purs que la lumière superbe qui étreingnait tendrement le paysage, il voulut repartir en courant pour retrouver Capucine, comme un papillon voudrait attraper la lune, mais un bruit venant de derrière lui l'interrompit juste avant qu'il ne se lance dans sa course effrenée...

Elle etait juste a coté de lui.. bizarre.. elle ne l'avais pas vu, elle se releva donc et commenca a avancer, assez essoufllée elle vit de loin une ombre qui ressemblais fort à Train

"Train c'est toi?"

elle s'avanca vers l'ombre,, oui c'etait lui!! elle pris son épaule pour qu'il se retourne,elle s'avanca d'un pas

"Je..n'ai pas compris quesque tu as fais en faite >_<"

La jeune fofolle le regarda avec un air suspect et croisa ses bras, a cose du froid

"tu es venu jusque ma chambre,tu madonné des belles fleurs..mais...apres tu t'es enfuis.."

[Hum hum, *toussote*, tu as remarqué que j'ai souligné le fait que c'était une "belle nuit chaude d'été" ?? ^^ -- Bref c'est pas grave on va dire que tu n'avais que ton pyjama sur toi... XD]

Train ne savait pas qui était la personne derrière lui, mais il était sûr d'une présence. Et, alors qu'une main se posait sur son épaule, il se retourna lentement et vit alors Capucine, là, devant lui, la seule personne qu'il ne s'attendait pas à voir arriver ici. Il fut alors gêné après que celle-ci lui ai dit qu'elle n'avait pas compris son geste, et se frotta l'arrière de la tête avec sa main droite tout en rougissant, et en rigolant légèrement, d'un rire gêné. Puis il vit qu'elle avait un peu froid, alors il enleva sa veste, pour la déposer délicatement sur ses épaules. Juste à ce moment il se souvint qu'il avait dit une phrase un peu forte juste à l'instant, et il se dit que Capucine avait peut-être entendu et il se mit alors soudainement à rougir. Après un court instant, il se mit à repenser à ce qu'elle venait de dire, elle n'avait donc pas compris son geste, il faut dire qu'elle n'était pas très futée, mais c'est ce qui faisait partie de son charme. Pour Train, les fleurs bleues, de par leur rareté mais aussi l'abondance du sentiment de joie qu'elle procurent, représentaient un peu les étoiles, dans l'immensité de l'espace autour d'elles. En quelque sorte, pour lui, il lui avait offert son âme, son coeur, ses sentiments, tout cela dans un simple bouquet de fleurs. Il s'avança alors à quelques pas devant, regardant le beau ciel étoilé, puis il dit à Capucine, en tournant légèrement sa tête vers elle :

"On dit qu'une étoile ne tombe amoureuse qu'une seule fois, et que lorsque l'autre meurt, elle s'éteind à son tour..."

Il se tourna alors vers Capucine, et avanca pour arriver juste devant elle. Il mit ensuite sa main sur la joue de ce doux visage qu'il adorait regarder pendant de longs moments, ce visage que pour lui rien d'autre ne remplacerait. Il regardait dans ces yeux profonds, qui montraient tant de joie, de bonheur, mais également selon la situation de l'incompréhension, de la haine, de la peur, et toute sorte d'autres émotions. Mais cette fois là il voyait un peu d'appréhension, bizarrement, il ne comprit pas, il admirait simplement la beauté des traits de ce visage, ces yeux qui représentaient tant la personnalité de Capucine, et cette bouche magnifique ou encore ces joues parfaites, ses superbes oreilles. Il s'arrêta simplement aux yeux, et dit :

"Avec ce bouquet, je voulais te dire...

...que tu es mon étoile.

Tu es celle qui illumine ma vie,
celle qui me rend heureux quand elle sourit,
tu fais tant pour moi, tous les jours,
et moi qu'ai-je fait en retour,
je pourrais payer n'importe quel prix,
pour te voir encore lorsque tu rit."

[ayano...c'est [pv Capi] mdr désolé Train, j'avais pas fais attention..xD]

Elle l'écouta parler, Ce dernier lui avait proposé sa veste, ou encore mieux, lui avais imposé sur ses épaules, elle souriat et le remercia , ensuite elle remonta sa meche qui lui retombais dessu, la jeune fille qui etait assez fofolle, a coté de la plaque, marrante sans le vouloir, pas tres romantique, et pas tres sensible pour une fois son coeur battais tellement vite, elle se rendis compte alors à quel point elle l'aimais

*Mais je l'ai jamais aimé.. Je l'aime pas moi!*

quand il lui recita une petite phrase mignone elle se mit a rougir, elle bougais de gauche a droite,tellement genée et quand il lui recita un poeme , elle ne pus s'empecher se retirer de lui, elle le regarda droit dans les yeux.

"ecoute, Train..désolé..mais..je..ne.."

» un ptit fofo bien sympathique